jeudi 25 juin 2009
R.I.P. Michael Jackson
jeudi 18 juin 2009
La Presse imprimée, chu pu capable!
Ça fais des mois que je n’ai lu un seul journal imprimé. Pas un seul.
Et ce n'est pas parce que je suis astreint à l'abstinence pour soigner une quelconque intoxication aux scoops.
Bien au contraire, je m’injecte maintenant plus de 3000 nouvelles par jour à travers un agrégateur de fils RSS et Twitter.
Triste constatation: je ne suis plus capable de lire l’actualité sur papier. Que des nouvelles dépassées, déconnectées, moribondes, qui datent de plus de 24h à 48h.
À quoi sert une nouvelle quand elle n’en est plus une? Elle ne sert qu’à nous salir les mains d’encre caduque et qu'à remplir des poubelles déjà trop pleines...
mardi 16 juin 2009
Boris Vian, l’ingénieur ingénu
L'érection de Mammouth Ahmadinejad
jeudi 11 juin 2009
Ça y est, l’OMS a déclaré la P A N D É M I E
lundi 8 juin 2009
God Incorporated: Prologue
De tout temps, les papes ont fait torturer et tuer pour protéger leurs pouvoirs et asservir les masses à leurs dogmes. Les rois prêtaient leurs soldats et couchaient avec l'église pour s’assurer de leurs droits de cuissage. Les serfs, le gros peuple, bouffaient l’hostie pour s’assurer de ne pas aller en enfer.
Les religions sont l’opium du peuple. Elles sont le business originel de l’humanité, avec la prostitution et la drogue.
Les papes, comme les pimps et les pushers, ont fait de l’homme un esclave.
L’esclavage est dans la nature profonde de l’être humain: il naît pour asservir sa race ou pour servir un maître. Dieu.
Personnellement, je suis païen et mes dieux sont féminins. Il n’y a que la femme qui mérite adoration.
jamais tué pour faire mon blé.
Je suis dans le business des dieux parce que c’est facile et payant de vendre le nirvana. Plus payant que la drogue et les putes. Et c’est légal. C’est exonéré d’impôt et de toutes taxes dans la plupart des pays.
Cependant, je ne savais pas à quel point le petit Jésus est habillé dans une peau de crabe. «Ti Jesus nan po krab», comme on dit en créole. Je ne savais pas à quel point j’avais ouvert une boîte de pandore.
J’ai bâti un empire, mais à quel prix? Ma famille, mes principaux collaborateurs et associés, tous ceux qui de près ou de loin représentaient une menace ont été assassinés.
Trop de cadavres germent dans mon sillon. Je vis dans la clandestinité de ma mort depuis douze années déjà. Ma vie est devenue une catacombe.
Je n’ai plus rien à perdre, tout à gagner. J’ai décidé de livrer la vérité, toute la vérité sur la plus
importante organisation criminelle des dix derniers siècles.